
De nombreuses choses sont sensées être bon pour le corps : le bio, certaines crèmes, certains médicaments… mais parfois il s’agit plus d’un placébo qu’autre chose.
L’aspect psychologique
D’après les études effectuées dans le domaine, un tiers de la population est sensible à l’effet placebo. Cette particularité du cerveau a été étudiée par de nombreux chercheurs, on remarque par exemple que prendre une pilule sans principe actif déclenchera une activité dans certaines zones du cerveau, ce qui peut entrainer la fabrication de molécules anti-douleur. Ce processus naturel permet la sécrétion d’endorphines.
Le psychisme à l’honneur
Le cerveau a la possibilité de libérer une molécule transmettant certaines informations entre les neurones : la dopamine. Celle-ci est une récompense et participe au plaisir, ce qui peut limiter la douleur, voire la supprimer.
Toutefois on observe de grosses différences concernant le fonctionnement du placebo d’une personne à l’autre d’après les chercheurs. La génétique peut expliquer cette diversité, mais le psychisme aura également un rôle important.
En effet, plus l’individu croit à sa guérison, plus celle-ci aura des chances de se réaliser, comme quoi le cerveau et la volonté sont souvent mésestimées.
Bien loin de cela, la médecine anti-vieillissement présenté dans cet article du Parisien met en avant la qualité de la vie, du soin qui a un impact sur la vie des personnes âgées.